Françoise Michel — Lumières
Après des études de géologie, c’est au cours d’une formation en régie au Théâtre National de Strasbourg dirigé alors par Jean-Pierre Vincent que Françoise Michel découvre la lumière et la mise en scène. Plus tard, elle rencontre la danse avec Odile Duboc. Les notions de mouvements, de lignes, de formes lui parlent, et elle voit dans l’univers chorégraphique un terrain où la lumière peut s’écrire comme une mise en scène. C’est le début d’une longue collaboration sur la conception et la réalisation des spectacles qu’elles feront ensemble, au sein de l’association Contre-Jour qu’elles fondent en 1983, puis au Centre Chorégraphique National de Franche-Comté à Belfort à partir de 1990 jusqu’en 2008.
Elle a aussi travaillé avec de nombreux chorégraphes et metteurs en scène de théâtre et d’opéra, partageant avec des équipes différentes son expérience de la lumière.
Après des études de géologie, c’est au cours d’une formation en régie au Théâtre National de Strasbourg dirigé alors par Jean-Pierre Vincent que Françoise Michel découvre la lumière et la mise en scène. Plus tard, elle rencontre la danse avec Odile Duboc. Les notions de mouvements, de lignes, de formes lui parlent, et elle voit dans l’univers chorégraphique un terrain où la lumière peut s’écrire comme une mise en scène. C’est le début d’une longue collaboration sur la conception et la réalisation des spectacles qu’elles feront ensemble, au sein de l’association Contre-Jour qu’elles fondent en 1983, puis au Centre Chorégraphique National de Franche-Comté à Belfort à partir de 1990 jusqu’en 2008.
Elle a aussi travaillé avec de nombreux chorégraphes et metteurs en scène de théâtre et d’opéra, partageant avec des équipes différentes son expérience de la lumière.